Debout sur le zinc : Clarinette et Rock survitaminé !!!
Vous aimez la clarinette et la musique qui bouge alors découvrez vite le groupe Debout sur le zinc !
DSLZ est un groupe de rock issu de la nouvelle scène française. Ses membres empruntent leurs mélodies aux rythmes tziganes, yiddish, irlandais, vieux Paris ou même beaucoup plus rock. Ils nous racontent la vie des gens qui s'aiment et qui meurent dans un flot d'ambiances réalistes et nostalgiques.
Septuor français originaire de la région parisienne et formé en 1997. Debout sur le zinc, c'est une mixture fraîche et artisanale, un cocktail survitaminé composé de chanson-rock, de folk, de musette et de sonorités tsiganes. On est charmé par la douceur et l'originalité de cette musique, à caractère festif, on peut le dire, mais aussi par les textes, toujours bien écrits, non sans malice et dérision. Le groupe s'est signalé dès 1999 par un premier album éponyme, mais c'est bien plus par ses prestations scéniques qu'il a fait parler de lui.
A AURAY le vendredi 14 avril au centre culturel Athéna : Debout sur le Zinc et Lo’jo à l’affiche.
Deux concerts pour une soirée musiques du monde !
Vendredi 14 avril, à 20 h 30, au centre culturel Athéna. Concert assis-debout catégorie A 19 €, 17,5 €, 11,5€.

Composition du groupe
* Romain Sassigneux : chant, clarinette et guitares
* Christophe Bastien : chant, Gretsch et guitare
* Fred Triska : accordéon
* Cédric Ermolieff (Momo) : batterie, percussions, xylophone et choeurs
* Olivier Sulpice : banjo, mandole et choeurs
* Simon Mimoun : chant, violon, alto et trompette
* William Lovti : contrebasse
Ils ont emprunté le nom du groupe à un poème de Prévert, font leurs premières armes au coin des comptoirs avant d'aborder d'autres scènes. Ils ont grandi en région parisienne, y ont croisé leurs origines et leurs musiques chanson française, rock anglais, flamme irlandaise, fièvre tsigane. Cette dernière surtout a établi la réputation des sept Debout, fait participer un public vibrant à leur tourbillonnante énergie. Elle crépite, intacte, dans ce deuxième album qui fait redécouvrir les autres atouts du groupe : un don sûr pour installer aussi des atmosphères pensives, des ballades mélanco, des douceurs glissées entre deux tempêtes. Ils aiment et font aimer «l'amour triste et le vin tard». Leur cuvée est un mélange gouleyant, java-klezmer, trad-rock, clarinette-accordéon-violon-banjo... Ça fait le ventre chaud et la jambe légère, la tête en colère et la main caressante. La famille néo-guinguette est fort nombreuse, parfois un peu radotante : Debout sur le zinc y a trouvé sa place au rang des rebelles rageurs-rieurs.
Au début, ils s'appelaient les « Spiritless Power », groupe de rock-funk anglais. C'était en 92, ils étaient quatre et tournaient pas mal sur les scènes départementales. Et puis, suite à un concert des « Têtes Raides », ce fut la 'révélation', qui les a poussé à se reconvertir dans la voie d'une chanson française traversée de valses, tangos, java, musiques tziganes, irlandaises tout en gardant le concept électrique rock.
Suite à un remplacement inopiné lors d'un concert en 94, Momo est venu se greffer à la batterie, pour ne plus la quitter. L'aventure continuait... Il suffisait d'y greffer un banjo et un violon, des instruments mélodiques. Ce fut fait avec la rencontre de deux membres de « woodspoon », Olivier et Simon, auquel s'est ajouté Fred, l'accordéoniste.
C'est après un concert des « Garçons Bouchers » et un concert au « Divan du Monde » en mai 96 qu'ils ont trouvé le nom de « Debout sur le zinc ».
Ces rambolitains ont le culte des anciens sans s'adonner à la pâle copie ou au mimétisme. Ils sont bien dans leur temps, avec de vraies chansons identifiables, qui fait chaud au cœur et qui explosent sur scène.
Ils ont ensuite pas mal collaboré avec de nombreux groupes dont Les Ogres de Barback avec qui ils ont participé à la tourné du Latcho Drom, et collaboré aussi sur l'album « La Pittoresque Histoire de Pitt'Ocha » (chanson n°6: « Poil aux Yeux »)
En savoir plus : http://www.dslz.org/menu/
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